


Valérie élève des poules pondeuses dans le Nord Mayenne, en bordure du Parc Naturel Régional de Normandie, dans l’ancienne province du Maine. Valérie est installée ici avec son mari Julien et leurs deux enfants, à Bignon, juste à côté de Lassay-Les-Châteaux. Les vergers de pommiers à cidre et calvados entourent ce petit hameau qui accueille 15 habitants à l’année. On y retrouve les maisons typiques en pierre de grain, ces roches grises jointées de chaux blanche ainsi que l’ancien logis seigneurial avec sa tour massive. Les parents de Julien, vivent ici aussi. Ils ont transmis leur ferme à Julien mais continuent à produire du cidre, du calvados et du pommeau avec les pommes issues des 3 ha de vergers haute-tige traditionnels qui entourent le hameau.
Après sa première tournée de vérification, Valérie peut alors enchaîner le reste de sa journée dont la prochaine étape se déroule plutôt à la maison, à quelques pas du poulailler où elle va préparer et emmener à l’école ses deux garçons, Baptiste et Antonin, qui ne manquent pas une occasion de venir faire un tour parmi les volailles quand ils ne vont pas à l’école. « C’est l’avantage des poules pondeuses, c’est compatible avec la vie de famille. »
Retour au poulailler pour le ramassage à la main des œufs que les poules ont pondu le matin même dans des nids où elles se rendent seules.
Valérie ramasse tous les œufs à la main. Elle vérifie qu’il n’y ait pas de coquille cassée puis les dépose sur des plateaux, la pointe en bas, pour ne pas écraser la poche d’air de l’œuf qui aide à la conservation. « C’est mon moment préféré ! C’est vraiment un plaisir, on récolte le fruit de notre travail. En plus les œufs sont encore tout chauds, c’est agréable. Souvent Julien me rejoint. On fait ça ensemble, on fait une pause café et je lui raconte mes histoires de poules… » Valérie rigole et Julien confirme en levant les yeux au ciel ! C’est vrai que ce n’est pas donné à tout le monde de travailler avec son conjoint au quotidien. Mais, pour ces deux–là, ça à l’air de bien se passer. « On apprécie le travail à deux. On est complémentaires. C’est bénéfique pour le travail, pour notre vie de famille et notre couple », explique Valérie.
En milieu de matinée, les œufs sont presque tous ramassés, les poules ont presque toutes pondu. Un dernier coup d’œil dans le poulailler. Les poules se dressent sur leurs perchoirs ou se pressent près des portes. Elles le sentent, c’est l’heure de sortir. Valérie ouvre la porte à ses « cocottes » et se poste à la sortie pour observer leur comportement.
Valérie les accompagne un peu dans le parc, les volailles la suivent de près. « Elles me collent tout le temps ! Elles sont vraiment rigolotes. Je les trouve très expressives aussi et très sociables. » Elle marque une pause, sourit, puis nous glisse : « On est heureux de voir nos volailles heureuses et aller librement en plein air. »
Elle les laissera ainsi gambader librement tout le reste de la journée. Un nouveau repas à base de céréales 100% françaises et sans OGM leur sera donné dans l’après-midi. Un mélange de maïs, tournesol, blé, lin, dont une partie est même produite sur la ferme par Julien. A 16h, les volailles reçoivent aussi des coquilles d’huîtres pour leur apporter le calcium nécessaire à la formation de la coquille des œufs. Les poules sont libres d’entrer et sortir jusqu’à la tombée du jour. Valérie reviendra quand même régulièrement pour s’assurer que tout va bien et ramasser les derniers œufs. Elle en rapportera d’ailleurs quelques-uns à la maison pour cuisiner une omelette, un gâteau ou des crêpes pour sa famille. « Ou les trois à la fois ! On mange beaucoup plus d’œufs depuis qu’on les produit. Ils sont tellement doux et ils ont une si belle couleur jaune, c’est parfait pour les gâteaux ! Et moi je prends encore plus de plaisir à cuisiner mes œufs. »
Dernière tâche de la journée pour Valérie : « Attendre que le soleil se couche sur la campagne du Maine pour pouvoir fermer les portes du poulailler et mettre mes cocottes à l’abri du renard pour la nuit. » L’éleveuse peut alors sereinement se laisser aller au sommeil avant une nouvelle journée auprès de ses poules.
Films, visuels, fiches produits; brochures, affiches : accédez aux documents TRANSGOURMET ORIGINE avec votre code d'accès.
Œufs plein air du Maine label rouge
Boîte de 12
Colis de 8
Code : 301573
Œufs plein air du Maine label rouge
Carton de 90
Code : 301574
Œufs plein air du Maine label rouge
Carton de 180
Code : 301575
Œufs plein air de Bretagne label rouge
Boîte de 12
Colis de 4
Code : 300790
Mit den Origine-Produkten ermöglicht Transgourmet den Gastronomen und Küchenchefs authentische und emotionale Produktgeschichten bis zum Tischgast zu erzählen. Jedes Origine Produkt verfügt über einen verständlichen und relevanten Nachhaltigkeitsmehrwert. Origine verbindet damit in einzigartiger Weise den Wunsch nach Nähe und Ursprünglichkeit mit gesellschaftlicher Verantwortung.
Das stetig wachsende Angebot an Origine Produkten wird durch individuelle Beratung und Workshops ergänzt. Transgourmet liefert zusätzlich zu den Produkten Inspiration und Hintergrundwissen.
Die Nachhaltigkeits-Kriterien der Eigenmarke Origine sind über drei eigene Rating-Stufen definiert. Good, Better, Best lauten die Rating-Levels mit zunehmenden Anforderungen in definierten Verantwortungsfeldern. Jedes Origine Produkt muss einer der Stufen entsprechen. Die Verantwortungsfelder werden vom Transgourmet Kompetenzteam festgelegt und orientieren sich an den in der Warengruppe bedeutendsten Nachhaltigkeitsthemen. Akzeptierte externe Labels wie z.B. die Bio-Suisse Knospe oder Programme wie BTS/RAUS werden in die drei Ratingstufen eingeordnet und sichern über die den Labels und Programmen zugrunde liegenden Detailkriterien und Zertifizierungsprozesse die Einhaltung der Standards. Bei Produkten ohne akzeptiertes externes Label legt das Transgourmet-Kompetenzteam die Zielkriterien fest, nach denen der Betrieb auditiert wird. Das Restaurant selbst muss sich nicht zertifizieren lassen solange es keine Drittlabels auf der Speisekarte zum Einsatz bringt.